Montréal devait accueillir cet automne le Tanztheater Wuppertal Pina Bausch, temps fort d’une saison que la pandémie a suspendu, zone rouge oblige. Qu’à cela ne tienne, l’esprit de l’iconique Pina Bausch flottera tout de même sur la ville, Danse Danse dévoilant le film Dancing at Dusk : A Moment with Pina Bausch’s The Rite of Spring dans lequel 38 interprètes africains reprennent son Sacre du printemps. Fondatrice de l’École des Sables, au Sénégal, et mère de la danse africaine contemporaine, Germaine Acogny s’est confiée au Devoir sur ce processus exceptionnel et sur les conséquences de la pandémie.
Il y a deux ans, Germaine Acogny était à Bruxelles et interprétait la pièce solo Mon élue noire – Sacre #2, d’Olivier Dubois. Sa complice, la chorégraphe de renom Anne Teresa de Keersmaeker, et le fils de Pina Bausch, Salomon Bausch, étaient dans la salle. Le projet entre le Tanztheater Wuppertal Pina Bausch et l’École des Sables est né en coulisses, pendant l’entracte.
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Extrait du site ledevoir.com - Par Léa Villalba - Publié le 19 octobre 2020
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