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Journée de promotion du Baromètre annuel d’opinion des entreprises africaines à La Maison de l’Afriq

Une après-midi pour réfléchir aux usages possibles d’un outil stratégique d’information insuffisamment promu et détenu par les CCI africaines.


Tel était l’objectif de l’atelier de présentation du baromètre de l’opinion des entreprises africaines, que La Maison de l’Afrique a abrité le 11 avril 2019 et qui a réuni des acteurs du monde consulaire et diplomatique, ainsi que leurs partenaires traditionnels (le Centre de Commerce International et la CPCCAF) et des organes de presse et média invités.


Pour La Maison de l’Afrique qui a vu dans ce rassemblement une opportunité de rapprochement de services consulaires, basés pour les uns en Afrique et pour les autres en France, une nouvelle relation fondée sur le partage de l’information est à encourager.


L’occasion lui a été ainsi donnée de présenter les travaux du Cercle d’Echanges et de Réflexion, un Think Tank, dont les membres sont les Conseillers Economiques des ambassades à Paris des pays membres, qui réfléchissent et viennent présenter chaque mois et à tour de rôle des thématiques propres ou communes aux pays membres.


A travers cette réflexion, La Maison de l’Afrique a développé une méthodologie qui met en avant la nécessaire structuration de domaines agricoles, industriels, tertiaires, culturels dits « d’excellence » qui, au titre de l’excellence des savoir-faire, des goûts, des régions de production, doivent devenir des locomotives économiques pour les pays africains.


En tant que structure regroupant plusieurs pays et plusieurs zones d’intégration, la Maison de l’Afrique peut contribuer à l’élaboration d’un principe de labellisation ambitieux, innovant et fédérateur, qui intègre parfaitement les missions des CCI, qu’il s’agisse de mettre en valeur les territoires, de professionnaliser les opérateurs économiques, d’attirer les investisseurs ou de stimuler la création ou le maintien de l’emploi local.


Le baromètre de l’opinion des entreprises africaines s’avère être un formidable outil de mesure des besoins ainsi identifiés et qu’il importe de satisfaire par tous les moyens suivant le triptyque cher aux chambres consulaires « savoir, savoir-faire et faire savoir… »


Nous fondons l’espoir qu’un pont s’établisse désormais entre des services géographiquement éloignés (les CCI africaines et les ambassades basées à Paris) mais que tout rapproche en parfaite complémentarité, pour la diffusion d’une information pertinente et valorisante au bénéfice de nos pays africains.


Article rédigé par M-G Varlet, le 15 Avril 2019

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